
Les Symptômes et Traitements
Des problèmes de communication à la gestion du stress, j'offre une gamme de services experts comprenant le coaching de personnes à haut potentiel, la thérapie brève, la thérapie énergétique, la thérapie familiale et le coaching psychologique. Avec mon soutien, vous pourrez trouver l’aide dont vous avez besoin pour surmonter les pensées, sentiments et comportements difficiles qui vous freinent.
Qu’est-ce qui est considéré comme du harcèlement ?
Le harcèlement se définit comme un comportement répété — paroles, gestes, attitudes ou messages — ayant pour effet ou pour intention de dégrader les conditions de vie d’une personne, de porter atteinte à sa dignité, ou de créer un climat d’humiliation, de peur ou de tension.
Il peut prendre plusieurs formes :
Verbale : moqueries, insultes, menaces, remarques dégradantes.
Psychologique ou morale : isolement, dénigrement, manipulation, contrôle excessif.
Physique : gestes violents, intimidations, atteintes à l’intégrité.
Numérique (cyberharcèlement) : diffusion d’informations, d’images ou de propos humiliants sur internet.
Le plus souvent, la personne harcelée doute d’elle-même, minimise ce qu’elle vit ou culpabilise. Pourtant, aucune forme de harcèlement n’est “normale” : chaque situation mérite d’être reconnue et accompagnée.
L’atelier Le harcèlement vous aide à :
comprendre ce qui se passe dans le cerveau après un traumatisme,
identifier vos ressources intérieures et vos forces,
utiliser des outils concrets pour apaiser vos émotions et restaurer votre confiance,
et, si nécessaire, anticiper les démarches légales à entreprendre.
Cet espace bienveillant vous permet de transformer cette épreuve en un chemin de reconstruction et de résilience, pas à pas.
Quels sont les signes que quelqu’un est harcelé ?
Reconnaître qu’une personne est harcelée n’est pas toujours simple. Le harcèlement agit souvent de manière insidieuse, créant un climat de peur et de dévalorisation. La victime doute d’elle-même, perd ses repères et finit parfois par croire qu’elle exagère… Pourtant, certains signes ne trompent pas.
Les signes émotionnels et psychologiques
Changements d’humeur soudains : irritabilité, pleurs fréquents, hypersensibilité.
Anxiété accrue : appréhension avant d’aller au travail, à l’école ou de croiser certaines personnes.
Baisse de confiance et d’estime de soi : discours négatif sur soi, sentiment d’infériorité ou de honte.
Culpabilité excessive : la personne pense être responsable de ce qu’elle subit.
Sentiment d’impuissance ou de perte de contrôle sur sa vie.
Les signes physiques
Le corps exprime souvent ce que les mots n’arrivent pas à dire :
Fatigue intense ou persistante, même après le repos.
Troubles du sommeil, cauchemars ou insomnies.
Douleurs diffuses : maux de tête, tensions musculaires, troubles digestifs.
Changements dans l’appétit ou le poids.
Les signes comportementaux
Isolement : retrait progressif de la vie sociale, évitement des collègues, amis ou activités habituelles.
Perte d’intérêt ou de motivation pour le travail, les études ou les loisirs.
Silence inhabituel ou, au contraire, nervosité accrue.
Absences répétées ou arrêts maladie sans cause médicale claire.
Parfois, la personne cherche une validation constante ou s’excuse fréquemment, par peur de “mal faire”.
Comment aider une personne harcelée ?
Si vous pensez qu’une personne subit du harcèlement :
Écoutez sans juger. Offrez un espace d’accueil, sans chercher tout de suite à trouver des solutions.
Croyez-la. La première étape de guérison passe par la reconnaissance de ce qu’elle vit.
Encouragez-la à se protéger : à poser des limites, à noter les faits, à ne pas rester seule face à la situation.
Orientez-la vers un professionnel (psychopraticien, thérapeute, médecin, RH, délégué du personnel, association).
Rappelez-lui que personne ne mérite d’être maltraité. Le harcèlement n’est jamais de sa faute.
L’atelier Le harcèlement propose un accompagnement complet pour :
comprendre les mécanismes du traumatisme,
identifier les signes du harcèlement, qu’ils soient personnels ou professionnels,
retrouver confiance en soi après ces épreuves,
et se reconstruire émotionnellement à travers des outils thérapeutiques concrets (écoute, EFT, hypnose, travail sur les émotions).
C’est un espace d’écoute, de compréhension et de reconstruction en profondeur, pour reprendre votre pouvoir personnel et transformer la souffrance en force.
Quels sont les types de harcèlement ?
Le harcèlement se manifeste sous plusieurs formes, mais toutes ont un point commun : elles consistent en des actes répétés ayant pour effet de nuire à la dignité, de créer un climat de peur ou d’humiliation, et de détruire la confiance en soi. Certaines formes sont visibles, d’autres plus subtiles, mais toutes laissent des traces profondes.
1. Le harcèlement moral
C’est la forme la plus fréquente, notamment au travail ou à l’école. Il s’agit de comportements répétés (critiques, isolement, dénigrement, humiliation, pression excessive) qui altèrent l’équilibre psychologique de la personne visée. ➡️ La victime finit souvent par douter d’elle-même et s’épuiser émotionnellement.
2. Le harcèlement psychologique
Proche du harcèlement moral, il agit sur la perte d’estime et de repères : manipulation, culpabilisation, chantage affectif, ou contrôle constant. ➡️ Ce type de harcèlement est courant dans les relations personnelles, familiales ou amoureuses.
3. Le harcèlement sexuel
Il se traduit par des propos, gestes ou comportements à connotation sexuelle, imposés sans consentement : remarques déplacées, gestes inappropriés, propositions insistantes, pressions ou menaces. ➡️ Il provoque honte, colère et peur, et peut laisser de lourdes séquelles émotionnelles.
4. Le harcèlement scolaire
Il touche les enfants et adolescents dans le cadre scolaire : moqueries, rejets, insultes, coups, rumeurs, exclusion… ➡️ Il fragilise la construction de l’estime de soi et peut entraîner anxiété, isolement et phobie scolaire.
5. Le harcèlement professionnel
Dans le monde du travail, il peut venir d’un supérieur, d’un collègue ou d’un groupe : surcharge, reproches injustifiés, mise à l’écart, surveillance excessive. ➡️ Il entraîne souvent stress chronique, perte de sens et risque de burn-out.
6. Le cyberharcèlement
Il se déroule sur les réseaux sociaux, par messages, mails, ou forums : moqueries publiques, diffamation, usurpation d’identité, harcèlement de groupe. ➡️ Les impacts psychologiques sont puissants, car l’agression envahit la sphère intime, 24h/24.
L’atelier Le harcèlement vous accompagne pour :
comprendre ces différentes formes de harcèlement,
identifier celle que vous ou un proche avez pu subir,
libérer les émotions associées grâce à des outils concrets (écoute, EFT, hypnose),
et vous reconstruire en profondeur, avec bienveillance et résilience.
Cet espace d’accompagnement vise à redonner du sens, de la sécurité et la confiance nécessaire pour reprendre le pouvoir sur votre vie.
Quels sont les symptômes du burn-out ?
Le burn-out (ou syndrome d’épuisement professionnel) ne se limite pas à une simple fatigue passagère. C’est un épuisement profond qui touche à la fois ton corps, tes émotions et ton esprit, souvent après une période prolongée de stress intense et de dépassement de tes limites. Voici les signaux d’alerte à reconnaître, inspirés de l’atelier « Sortir du burn-out » :
1. Symptômes physiques
Ton corps est souvent le premier à sonner l’alarme :
Fatigue extrême : Un épuisement persistant, même après une nuit de sommeil ou des vacances. « Je me lève déjà vidé·e. »
Troubles du sommeil : Insomnies, réveils nocturnes, ou sommeil non réparateur.
Douleurs et tensions : Maux de tête, douleurs musculaires (dos, nuque), troubles digestifs (nausées, syndrome de l’intestin irritable).
Baisse de l’immunité : Rhumes à répétition, infections, cicatrisation lente.
Modifications de l’appétit : Perte ou augmentation brutale de l’appétit, souvent liée à des comportements compensatoires (grignotage, perte de plaisir à manger).
2. Symptômes émotionnels
Le burn-out affecte profondément ton équilibre émotionnel :
Sentiment d’épuisement émotionnel : « Je n’ai plus rien à donner. » Incapacité à ressentir de la joie ou de l’enthousiasme.
Cynisme ou détachement : Attitude froide, désengagement, voire mépris envers ton travail, tes collègues ou tes proches. « Plus rien n’a de sens. »
Irritabilité accrue : Réactions disproportionnées, colère ou larmes pour un rien.
Sentiment d’échec ou d’incompétence : « Je ne sers à rien. » Doute permanent sur tes capacités, même pour des tâches simples.
Peur de l’avenir : Anxiété face à l’incertitude, sentiment de « ne plus savoir qui tu es » ou « ne plus reconnaître ta vie ».
3. Symptômes mentaux et cognitifs
Ton esprit est saturé, ce qui se manifeste par :
Difficultés de concentration : « Mon cerveau est dans le brouillard. » Oublis fréquents, incapacité à prendre des décisions.
Perte de motivation : Même les activités que tu aimais auparavant te semblent sans intérêt.
Rumination mentale : Pensées négatives qui tournent en boucle (« Je n’y arriverai jamais », « Tout est trop difficile »).
Désorientation : « Je ne sais plus ce que je veux. » Perte de repères, sentiment de vide.
4. Symptômes comportementaux
Tes actions et réactions changent :
Isolement social : Évitement des interactions, repli sur soi. « Je n’ai plus envie de voir personne. »
Procrastination : Incapacité à te mettre au travail, report systématique des tâches.
Comportements addictifs : Recours excessif à l’alcool, la nourriture, les écrans, les achats, pour « déconnecter ».
Baisse de productivité : Erreurs fréquentes, travail bâclé, sentiment de « tourner en rond ».
5. Signaux d’alerte avancés
Si ces symptômes persistent, ils peuvent mener à :
Dépression : Perte totale d’espoir, idées noires.
Troubles anxieux : Crises de panique, phobies sociales.
Maladies chroniques : Hypertension, troubles cardiovasculaires, burn-out sévère nécessitant un arrêt prolongé.
Que faire si tu reconnais ces symptômes ?
Prendre conscience : Reconnaître que ces signes sont ceux d’un burn-out, pas d’une faiblesse.
Consulter un professionnel : Médecin, thérapeute ou coach spécialisé pour un accompagnement adapté.
Agir sur les causes :
Réévaluer tes priorités : Qu’est-ce qui est vraiment important pour toi ?
Poser des limites : Apprendre à dire « non », déléguer, réduire ta charge.
Retrouver du sens : « Quel est le sens que je veux donner à ma vie/profession ? »
4. Utiliser des outils :
EFT (Emotional Freedom Technique) pour libérer les croyances limitantes (« Je dois tout contrôler »).
Hypnose pour te reconnecter à tes besoins profonds.
Pleine conscience pour te recentrer sur l’instant présent.
Pour aller plus loin Si tu veux comprendre les mécanismes du burn-out et découvrir des outils concrets pour en sortir, l’atelier « Sortir du burn-out » t’offre un accompagnement complet pour retrouver ton équilibre.
Quelle est la différence entre la dépression et le burn-out ?
Points communs
La dépression et le burn-out partagent plusieurs symptômes : épuisement psychique et physique, perte d’énergie, difficulté à se concentrer, détachement émotionnel, voire sentiment de vide ou de découragement. Pour autant, elles ne sont pas identiques et nécessitent des approches différentes.
Principales différences
1. Origine / contexte
Le burn-out est typiquement déclenché par une surcharge ou une pression prolongée dans un domaine précis (souvent professionnel, mais aussi de soins, familial etc.).
La dépression ne se limite pas à un contexte unique : elle peut s’installer indépendamment d’une situation « type travail », touche plusieurs sphères de la vie, et est reconnue comme trouble de santé mentale.
2. Étendue de l’impact
Dans le burn-out, l’épuisement et le désengagement se manifestent souvent dans la sphère où la pression était concentrée (ex : travail) ; si la personne s’éloigne de cette pression, une amélioration peut intervenir.
Dans la dépression, l’affectation est plus globale : humeur basse, perte de plaisir, pensées négatives, sur plusieurs domaines de vie, souvent sans « répit » simplement en changeant de contexte.
3. Diagnostic et reconnaissance
Le burn-out est généralement considéré comme un phénomène lié à l’épuisement professionnel ou à une situation de stress prolongé, et n’est pas toujours reconnu comme un trouble psychiatrique à part entière dans tous les systèmes.
La dépression (Dépression majeure) est un diagnostic médical clairement défini, avec des critères précis (ex : 5 + symptômes pendant au moins 2 semaines) ; elle nécessite souvent un suivi thérapeutique ou médical.
4. Évolution et traitement
Le burn-out peut principalement nécessiter : identifier et diminuer les facteurs de stress, se reposer, changer d’environnement ou ajuster ses limites. Si on agit tôt, la restauration est possible.
La dépression, au-delà des changements de contexte, requiert souvent des interventions plus systématiques : psychothérapie, parfois médication, accompagnement médical.
Ce que l’atelier « Sortir du Burn-out » propose
Cet atelier vous permet de :
Comprendre comment votre corps et vos émotions vous informent que vous dépassez vos limites.
Repérer les signaux d’alerte (fatigue persistante, désinvestissement, perte de sens).
Mettre en place des stratégies pour restaurer un rythme sain, poser des limites, reconnecter à vos besoins profonds.
Prévenir que ce mécanisme de burn-out ne se transforme en un état plus lourd comme la dépression. C’est donc un accompagnement spécifique au burn-out, pour intervenir dès que le mécanisme d’épuisement s’installe — avant que la souffrance ne devienne plus globale.
En résumé
Le burn-out : épuisement lié à un contexte précis, souvent professionnel ou d’engagement intense, pouvant être réversible si on agit.
La dépression : trouble de l’humeur global, affectant plusieurs domaines de vie, nécessitant un suivi plus intensif.
Il est possible d’avoir les deux en même temps, ou que le burn-out non traité évolue vers une dépression.
Comment se guérir d’un burn-out ?
Se guérir d’un burn-out demande du temps, de la compréhension et un réalignement profond avec soi-même. Ce n’est pas un simple « repos » ou une pause dans le travail : c’est un véritable processus de reconstruction, où le corps, le mental et les émotions doivent retrouver leur équilibre après une période prolongée de sur-adaptation.
Le burn-out survient souvent lorsque vous avez dépassé vos limites trop longtemps, en cherchant à répondre à des exigences extérieures (travail, famille, attentes sociales) ou intérieures (vouloir bien faire, être fort, plaire, réussir).
L’atelier Sortir du Burn-out vous guide pas à pas à travers trois grandes étapes de guérison :
1️⃣ L’acceptation Reconnaître que le burn-out n’est ni une faiblesse ni un échec, mais un signal vital du corps qui demande un changement. Cette prise de conscience permet de sortir de la culpabilité et d’ouvrir la voie à la guérison.
2️⃣ La conscientisation Comprendre pourquoi cet épuisement est survenu et quels besoins fondamentaux (sécurité, reconnaissance, appartenance) n’ont pas été respectés. Vous explorez vos drivers inconscients comme sois fort, fais plaisir ou dépêche-toi, et apprenez à les apaiser grâce à l’EFT (Emotional Freedom Techniques). C’est aussi une phase de redécouverte de vos valeurs, de votre rythme et du sens que vous souhaitez donner à votre vie.
3️⃣ La concrétisation C’est le temps du renouveau : retrouver votre énergie, poser vos limites, et définir une nouvelle manière de vivre et de travailler.
Que vous choisissiez de reprendre votre poste différemment ou d’envisager une reconversion, cette étape vous aide à avancer en cohérence avec vos besoins réels et vos aspirations profondes.
L’atelier se conclut par une séance d’hypnose guidée, pour ancrer durablement les changements intérieurs et retrouver votre voie avec confiance et sérénité
Quelle est la durée moyenne d’un arrêt de travail pour burn-out ?
La durée d’un arrêt de travail pour un Burn‑out dépend fortement de chaque personne — de la gravité de l’épuisement, de la rapidité de la prise en charge, de l’environnement professionnel et personnel, de l’accompagnement thérapeutique, etc.
Voici ce que l’on observe :
Certaines sources évoquent une durée « courte » (quelques mois) pour les cas repérés tôt et accompagnés efficacement : par exemple, un arrêt de 3 à 6 mois peut parfois être suffisant.
D’autres études indiquent une durée bien plus longue pour les cas sévères : environ 12 à 18 mois en moyenne pour les arrêts liés au burn-out.
Une étude belge mentionne une durée moyenne d’incapacité de travail autour de 14,6 mois pour les personnes ayant un burn-out diagnostiqué.
Ainsi, il n’y a pas de durée fixe, mais un intervalle habituel pourrait être quelques mois à plus d’un an, selon les facteurs en jeu.
Ce que propose l’atelier Sortir du Burn‑Out (accessible ici : Sortir du Burn-Out) :
Un accompagnement pour réduire justement la durée potentielle de l’arrêt, en intervenant tôt, en redéfinissant vos limites, en rééquilibrant vie pro/vie perso.
Une phase de récupération active plutôt que l’attente passive du retour au travail.
Une préparation du retour progressif pour éviter la rechute, ce qui peut aussi influer positivement sur la durée totale de l’arrêt.
L’arrêt pour burn-out dépend des conditions personnelles et contextuelles, mais l’accompagnement et la prise de conscience — comme ceux proposés dans l’atelier « Sortir du Burn-out » — peuvent jouer un rôle majeur dans la durée et la qualité de la récupération.
Le stress provoque quoi ?
Le stress, surtout lorsqu’il devient chronique, a des répercussions profondes sur ton corps, ton esprit et ton comportement. Voici ce qu’il peut déclencher, ainsi que des pistes pour mieux le comprendre et l’apaiser, inspirées de l’atelier « Mieux comprendre et apaiser le stress » :
1. Effets physiques du stress
Le stress active ton système nerveux sympathique (mode « combat-fuite »), ce qui entraîne :
Fatigue et tensions musculaires : Maux de tête, douleurs au cou/aux épaules, crispations.
Troubles digestifs : Nausées, diarrhée, syndrome de l’intestin irritable.
Affaiblissement du système immunitaire : Rhumes fréquents, infections, cicatrisation plus lente.
Problèmes cardiovasculaires : Augmentation du rythme cardiaque, hypertension, risques accrus d’infarctus ou d’AVC sur le long terme.
Troubles du sommeil : Insomnies, réveils nocturnes, sommeil non réparateur.
Prise ou perte de poids : Le stress peut couper l’appétit ou, au contraire, pousser à manger pour se réconforter (grignotage, aliments sucrés/gras).
2. Effets émotionnels et mentaux
Le stress perturbe ton équilibre émotionnel et ta clarté mentale :
Anxiété ou crises de panique : Sentiment d’être submergé·e, peur de perdre le contrôle.
Irritabilité ou colère : Réactions disproportionnées, conflits relationnels.
Tristesse ou déprime : Sentiment d’épuisement, perte de motivation, voire dépression.
Difficultés de concentration : Oublis, procrastination, sensation de « brouillard mental ».
Rumination : Pensées négatives qui tournent en boucle (« Et si je n’y arrive pas ? », « Tout va mal »).
3. Comportements induits par le stress
Sous l’effet du stress, tes réactions peuvent devenir :
Évitement : Procrastination, fuite des responsabilités (« Je ne peux pas gérer ça »).
Addictions : Recours excessif à l’alcool, la nourriture, les écrans, les achats compulsifs pour « décompresser ».
Isolement social : Éviter les interactions par peur du jugement ou manque d’énergie.
Comportements impulsifs : Décisions prises à la hâte (dépenses, conflits, changements radicaux).
4. Impact sur tes relations
Le stress peut aussi dégrader tes liens avec les autres :
Conflits familiaux ou amicaux : Irritabilité, manque de patience, incompréhensions.
Difficultés professionnelles : Baisse de productivité, tensions avec les collègues, burn-out.
Sentiment de solitude : Même entouré·e, tu peux te sentir incompris·e ou coupé·e des autres.
5. Conséquences à long terme
Si le stress n’est pas géré, il peut mener à :
Épuisement professionnel (burn-out) : Épuisement physique et émotionnel lié au travail.
Troubles psychologiques : Dépression, troubles anxieux, TOC (troubles obsessionnels compulsifs).
Maladies chroniques : Diabète, problèmes cardiaques, troubles auto-immuns.
Comment agir ?
Heureusement, le stress peut être régulé grâce à des outils concrets :
Respiration et pleine conscience : Techniques pour calmer le système nerveux (ex. : scan corporel, méditation guidée).
Libération émotionnelle (EFT) : Tapoter des points d’acupuncture pour désamorcer les réactions de stress.
Hypnose : Reprogrammer ton inconscient pour installer des réflexes apaisants.
Gratitude et ancrage : Se recentrer sur le présent et les aspects positifs de ta vie.
Pour explorer ces outils en profondeur Découvre l’atelier « Le stress par la pleine conscience », où tu apprendras à identifier les sources de ton stress et à utiliser des techniques douces pour retrouver ton équilibre.
C’est quoi le stress ?
Le stress est une réaction naturelle de ton corps et de ton esprit face à une situation perçue comme une menace, un défi ou un changement. C’est un mécanisme de survie qui t’aide à t’adapter, mais qui peut devenir problématique s’il est trop intense ou trop fréquent.
Voici une explication claire et complète, inspirée de l’atelier « Mieux comprendre et apaiser le stress » :
1. Une réaction biologique et psychologique
Le stress active ton système nerveux sympathique, qui prépare ton corps à réagir rapidement :
Réaction de « combat-fuite » : Ton cerveau libère des hormones comme l’adrénaline et le cortisol, qui augmentent ton rythme cardiaque, ta tension artérielle et ta vigilance.
Objectif : Te donner l’énergie nécessaire pour faire face à un danger (réel ou imaginaire).
2. Les deux types de stress
Stress aigu (ponctuel) : Exemple : Un entretien d’embauche, un examen, un imprévu. → Utile : Il te motive et te permet de te dépasser.
Stress chronique (prolongé) : Exemple : Une charge de travail constante, des conflits familiaux, des soucis financiers. → Nocif : Il épuise ton corps et ton esprit, et peut mener à des troubles de santé (fatigue, anxiété, burn-out).
3. Les déclencheurs du stress
Le stress peut être provoqué par :
Des facteurs externes :
Environnement (bruit, surcharge de travail, pression sociale).
Événements de vie (déménagement, deuil, rupture).
Des facteurs internes :
Tes pensées (« Je ne vais pas y arriver »).
Tes croyances (« Tout doit être parfait »).
Tes émotions refoulées (peur, colère, tristesse).
4. Les signaux d’alerte
Ton corps et ton esprit t’envoient des signaux pour t’indiquer que tu es stressé·e :
Physiques : Maux de tête, tensions musculaires, troubles digestifs, fatigue.
Émotionnels : Irritabilité, anxiété, sentiment d’être submergé·e.
Comportementaux : Procrastination, troubles du sommeil, isolement.
5. Le stress, un message à décoder
Le stress n’est pas ton ennemi : c’est un signal qui te dit que quelque chose doit être ajusté.
Question à te poser : « Qu’est-ce que ce stress essaie de me dire ? » (Ex. : « J’ai besoin de repos », « Cette situation ne me convient plus »).
6. Comment le réguler ?
Heureusement, il existe des outils pour apaiser le stress et retrouver ton équilibre :
Respiration et pleine conscience : Techniques pour calmer ton système nerveux (ex. : méditation, scan corporel).
Libération émotionnelle (EFT) : Tapoter des points d’acupuncture pour libérer les tensions.
Hypnose : Reprogrammer ton inconscient pour installer des réflexes apaisants.
Gratitude et ancrage : Te recentrer sur le présent et les aspects positifs de ta vie.
Pour approfondir Si tu veux explorer ces outils et mieux comprendre ton stress, l’atelier « Le stress par la pleine conscience » t’offre des clés pour transformer ton rapport au stress et retrouver la sérénité.
Comment diminuer le stress ?
Réduire le stress passe par une combinaison d’outils concrets, de changements d’habitudes et de prise de conscience de ses déclencheurs. Voici des méthodes efficaces et accessibles, inspirées de l’atelier « Mieux comprendre et apaiser le stress », pour retrouver calme et équilibre au quotidien :
1. Agir sur ton corps
Le stress se manifeste physiquement : agis directement sur ton système nerveux pour le calmer.
Respiration consciente :
La cohérence cardiaque : Inspire profondément pendant 5 secondes, expire pendant 5 secondes, pendant 5 minutes. Cela régule ton rythme cardiaque et apaise ton esprit.
Respiration abdominale : Pose une main sur ton ventre, inspire lentement en gonflant le ventre, expire en le dégonflant. Répète 10 fois.
Relâcher les tensions :
Scan corporel : Ferme les yeux et porte ton attention sur chaque partie de ton corps, des orteils à la tête, en relâchant les muscles.
Étirements ou yoga doux : 10 minutes par jour suffisent pour évacuer les tensions accumulées.
Bouger :
Marche rapide, danse, natation… L’activité physique libère des endorphines, les hormones du bien-être.
2. Apaiser ton esprit
Le stress est souvent amplifié par tes pensées. Apprends à les observer sans t’y identifier.
Méditation de pleine conscience :
Assis·e confortablement, concentre-toi sur ta respiration ou sur les sons autour de toi. Quand une pensée surgit, observe-la sans jugement et laisse-la passer, comme un nuage.
5 minutes par jour suffisent pour commencer.
Écrire pour évacuer :
Note sur un papier ce qui te stresse (« Je me sens débordé·e parce que… »). Cela clarifie tes émotions et réduit leur intensité.
Déchire la feuille après pour symboliser le lâcher-prise.
Pratiquer la gratitude :
Chaque soir, écris 3 choses pour lesquelles tu es reconnaissant·e. Cela recentre ton attention sur le positif.
3. Libérer tes émotions
Les émotions non exprimées alimentent le stress. Utilise des outils pour les accueillir et les transformer.
L’EFT (Emotional Freedom Technique) :
Tapote les points d’acupuncture (début du sourcil, côté de l’œil, sous le nez…) en répétant une phrase comme « Même si je stresse, je m’accepte profondément ». Cela désamorce les blocages émotionnels.
Exemple : Si tu es stressé·e par le travail, tapote en disant « Même si cette tâche me stresse, je choisis de rester calme ».
Parler à quelqu’un :
Exprime tes craintes ou tes tensions à un·e ami·e, un·e proche ou un·e professionnel·le. Verbaliser réduit la charge émotionnelle.
4. Modifier tes habitudes de vie
Ton mode de vie influence ton niveau de stress. Voici des ajustements simples mais puissants :
Prioriser le sommeil :
Un sommeil de qualité (7 à 9 heures) réduit l’irritabilité et améliore la résilience au stress. Crée une routine du coucher (pas d’écrans, lumière tamisée).
Limiter les excitants :
Café, alcool, sucre… Ils amplifient l’anxiété. Remplace par des infusions (camomille, tilleul) ou de l’eau.
Organiser ton temps :
Liste tes tâches par ordre de priorité et décompose-les en étapes réalisables. Utilise la méthode Pomodoro (25 minutes de travail / 5 minutes de pause) pour éviter la surcharge.
5. Revoir ton rapport au stress
Le stress est aussi une question de perception. Change ton dialogue intérieur :
Remplacer les pensées limitantes :
« Je n’y arriverai jamais » → « Je fais de mon mieux, étape par étape ».
« Tout est urgent » → « Je priorise ce qui est vraiment important ».
Accepter l’imperfection :
Le stress vient souvent de la peur de l’échec ou du besoin de contrôle. Rappelle-toi : « Je n’ai pas besoin d’être parfait·e pour être bien ».
Créer des rituels apaisants :
Un thé le matin, 10 minutes de lecture le soir, un bain chaud… Ces petits moments ancrent la sérénité dans ta journée.
6. Utiliser des outils complémentaires
L’hypnose :
Une séance guidée (comme dans l’atelier) peut t’aider à reprogrammer ton inconscient pour réagir avec plus de calme face aux situations stressantes.
La nature :
Passe du temps dehors (parc, forêt, bord de mer). La nature réduit naturellement le cortisol (hormone du stress).
La musique ou les sons apaisants :
Écoute des playlists de sons de pluie, de vagues ou de musique classique pour te détendre.
Pour aller plus loin
Si tu veux explorer ces techniques en profondeur et découvrir des outils comme l’EFT ou l’hypnose pour gérer ton stress, l’atelier « Le stress par la pleine conscience » t’offre un accompagnement complet pour retrouver ton équilibre.
C’est quoi la pleine conscience ?
La pleine conscience (ou mindfulness en anglais) est une pratique d’attention et de présence à l’instant présent, sans jugement. Elle consiste à observer tes pensées, tes émotions et tes sensations physiques avec bienveillance, pour mieux les comprendre et les accueillir.
Voici une explication simple et complète, inspirée de l’atelier « Le stress par la pleine conscience » :
1. Une définition claire
La pleine conscience, c’est :
Être pleinement conscient·e de ce qui se passe ici et maintenant, dans ton corps, ton esprit et ton environnement.
Observer sans réagir : Accueillir tes pensées et émotions sans les juger, sans chercher à les changer ou à les fuir.
Un état d’esprit : C’est une qualité d’attention que tu peux cultiver à tout moment, pas seulement pendant la méditation.
2. Les principes de base
L’attention portée sur l’instant présent :
Au lieu de ruminer le passé ou d’anticiper l’avenir, tu te concentres sur ce que tu vis maintenant (ex. : la sensation de tes pieds sur le sol, le goût de ton café, le bruit des oiseaux).
L’acceptation sans jugement :
Tu observes tes pensées ou émotions (« Je stresse », « Je suis triste ») sans te critiquer. Tu les laisses passer, comme des nuages dans le ciel.
La curiosité bienveillante :
Tu explores tes expériences internes avec ouverture, comme si tu les découvrais pour la première fois.
3. À quoi ça sert ?
La pleine conscience t’aide à :
Réduire le stress et l’anxiété : En te recentrant sur le présent, tu brises le cycle des pensées négatives.
Mieux gérer tes émotions : Tu apprends à les observer sans être submergé·e.
Améliorer ta concentration : Tu deviens plus attentif·ve à ce que tu fais, sans te laisser distraire.
Renforcer ton bien-être : Tu cultives un sentiment de calme et de clarté.
Mieux dormir : En apaisant ton esprit avant de te coucher.
4. Comment la pratiquer ?
La pleine conscience peut s’intégrer dans ta vie à tout moment :
En méditant :
Assis·e confortablement, concentre-toi sur ta respiration, les sons autour de toi ou les sensations de ton corps. Quand ton esprit s’égare, ramène doucement ton attention sur l’instant présent.
Exemple : 5 minutes le matin ou le soir pour commencer.
Dans tes activités quotidiennes :
Manger en pleine conscience : Observe les couleurs, les odeurs, les textures de ton repas. Mâche lentement.
Marcher en pleine conscience : Sens le contact de tes pieds avec le sol, l’air sur ta peau.
Écouter en pleine conscience : Quand quelqu’un te parle, concentre-toi pleinement sur ses mots, sans préparer ta réponse.
En cas de stress ou d’émotion forte :
Le scan corporel : Ferme les yeux et porte ton attention sur chaque partie de ton corps, en notant les tensions ou les sensations.
La respiration consciente : Inspire profondément en comptant jusqu’à 4, retiens ton souffle 4 secondes, expire en comptant jusqu’à 6.
5. Ce que la pleine conscience n’est pas
Vider son esprit : Il ne s’agit pas de supprimer tes pensées, mais de les observer sans t’y attacher.
Une technique de relaxation : Bien qu’elle apaise, son but est d’abord d’être présent·e, pas forcément de se détendre.
Réservée aux experts : Tout le monde peut la pratiquer, même les débutants. C’est une question d’entraînement, pas de performance.
6. Les bienfaits scientifiquement prouvés
Des études montrent que la pleine conscience :
Réduit l’anxiété et la dépression (études publiées dans JAMA Internal Medicine).
Améliore la résilience face au stress (en régulant le système nerveux).
Renforce la mémoire et la créativité (en développant la plasticité cérébrale).
Aide à mieux gérer la douleur chronique (en modifiant la perception de la douleur).
Pour aller plus loin
Si tu veux découvrir des exercices guidés de pleine conscience et apprendre à l’intégrer dans ton quotidien, l’atelier « Le stress par la pleine conscience » t’offre des outils concrets pour pratiquer sereinement.
Comment gérer l’impact de mes émotions sur mes décisions financières ?
L’argent n’est pas qu’une question de chiffres : il est aussi chargé d’émotions, de croyances et de schémas inconscients qui influencent nos choix. Voici comment prendre du recul et adopter une approche plus sereine et maîtrisée, inspirée de l’atelier « L’argent et moi » :
1. Identifier tes émotions liées à l’argent
Reconnaître tes réactions : Stress, peur de manquer, culpabilité, excitation… Quelles émotions surgissent quand tu penses à ton budget, à tes dépenses ou à tes investissements ?
Comprendre leur origine : Ces émotions sont-elles liées à des expériences passées (éducation, échecs, modèles familiaux) ? Par exemple, une peur de manquer peut venir d’un héritage familial ou d’une période de précarité.
Repérer ton profil émotionnel : Es-tu plutôt « dépensier·e sous stress », « économe par peur », « évitant·e » (tu préfères ne pas regarder tes comptes) ? Identifier ton profil t’aide à anticiper tes réactions.
2. Décrypter tes croyances sur l’argent
Lister tes idées reçues : « L’argent est une source de conflits », « Il faut souffrir pour en gagner », « Je ne mérite pas d’être riche ». Ces croyances, souvent inconscientes, guident tes décisions.
Questionner leur validité : « Est-ce que cette croyance m’aide ou me limite ? » « D’où vient-elle ? » (famille, société, expériences personnelles).
Remplacer les croyances limitantes : Par exemple, « L’argent est un outil pour créer de la sécurité et de la liberté » au lieu de « L’argent est une source de stress ».
3. Prendre des décisions alignées avec tes valeurs
Définir tes besoins réels : Distingue les dépenses « émotionnelles » (pour combler un vide, calmer une anxiété) des dépenses « alignées » (qui répondent à tes valeurs et objectifs).
Créer un budget conscient : Utilise des outils simples pour visualiser tes revenus, dépenses et épargne. Un budget n’est pas une contrainte, mais un moyen de te sentir en contrôle.
Impliquer tes émotions positivement : Par exemple, associe l’épargne à un objectif motivant (« Ce compte est pour mon projet de voyage ») plutôt qu’à une privation.
4. Utiliser des stratégies pour désamorcer le stress
La méditation ou visualisation : Prends 5 minutes pour te connecter à un sentiment de sécurité financière (ex. : « J’ai assez, je gère avec sagesse »). Cela calme le cerveau et réduit les décisions impulsives.
Le temps de réflexion : Avant une décision financière importante, accorde-toi 24 heures pour laisser retomber l’émotion et évaluer les options avec lucidité.
Parler de tes projets : En partager tes objectifs avec un·e proche ou un·e conseiller·ère peut t’aider à clarifier tes choix et à te sentir soutenu·e.
5. Éduquer ton cerveau financier
Comprendre les biais cognitifs : Par exemple, l’« effet de dotation » (surévaluer ce que tu possèdes) ou l’« aversion à la perte » (préférer éviter un risque même si c’est irrationnel). Les connaître t’aide à les contourner.
Apprendre les bases de la gestion financière : Budget, épargne, investissements à long terme (DCA, intérêts composés)… Plus tu maîtrises ces outils, moins tu seras vulnérable au stress.
6. Faire de l’argent un allié
Voir l’argent comme une énergie : Ni bon ni mauvais en soi, c’est un outil qui peut servir tes projets et ta sérénité.
Célébrer tes progrès : Même les petites victoires (« J’ai épargné 10% ce mois-ci ») renforcent ta confiance en tes capacités.
Pour aller plus loin Si tu veux explorer ces outils en profondeur et transformer ton rapport à l’argent, découvre l’atelier complet « L’argent et moi » ici. Tu y trouveras des exercices pratiques, des méditations guidées et des stratégies pour gérer tes émotions financières avec sérénité.
Est-ce qu’on peut apprendre à mieux gérer son argent ?
Absolument ! Gérer son argent est une compétence qui s’apprend, comme le vélo ou la cuisine. Que tu partes de zéro ou que tu veuilles affiner tes stratégies, il est toujours possible de progresser pour prendre le contrôle de tes finances avec sérénité et confiance. Voici comment t’y prendre, inspiré de l’atelier « L’argent et moi » :
1. Comprendre que la gestion de l’argent est un apprentissage
Une question de connaissances, pas de don : Personne ne naît en sachant gérer un budget ou investir. Tout s’apprend, étape par étape.
Démystifier les termes financiers : Budget, épargne, intérêts composés, DCA (Dollar-Cost Averaging)… Ces concepts deviennent simples une fois expliqués. Des ressources comme des livres, des podcasts ou des ateliers (comme celui-ci) peuvent t’aider à les maîtriser.
2. Commencer par les bases : le budget
Faire un état des lieux : Liste tes revenus, tes dépenses fixes (loyer, factures) et variables (loisirs, courses). Des applications ou un simple tableau Excel suffisent.
Distinguer besoins et envies : Un besoin est essentiel (se loger, se nourrir), une envie est un plus (un restaurant, un vêtement). Équilibrer les deux est la clé.
Se fixer des objectifs clairs : Épargner pour un projet, rembourser une dette, ou simplement mettre de côté pour les imprévus. Un objectif motive et donne du sens à tes efforts.
3. Apprivoiser ses émotions liées à l’argent
Identifier tes déclencheurs émotionnels : Stress, culpabilité, peur de manquer… Ces émotions peuvent mener à des décisions impulsives (dépenses compulsives, évitement des comptes). Les reconnaître est le premier pas pour les gérer.
Remplacer les croyances limitantes : « Je suis nul·le avec l’argent » → « J’apprends chaque jour à mieux le gérer ». « L’argent, c’est compliqué » → « Je peux comprendre les bases et demander de l’aide ».
Pratiquer la pleine conscience financière : Avant d’acheter ou d’investir, prends un moment pour te demander : « Est-ce aligné avec mes objectifs ? » « Est-ce une décision raisonnée ou émotionnelle ? ».
4. S’éduquer sur les outils financiers
L’épargne : Même un petit montant mis de côté régulièrement (5 à 10% de tes revenus) crée une sécurité et peut être investi pour fructifier.
Les investissements : Apprends les bases des placements (livrets, assurance-vie, ETF) pour faire travailler ton argent à long terme. Le DCA (investir régulièrement, peu importe les fluctuations) est une stratégie simple et efficace.
Éviter les pièges : Méfie-toi des « opportunités » trop belles pour être vraies, des dettes inutiles ou des frais bancaires cachés. Une gestion avisée passe aussi par la prudence.
5. Se faire accompagner si besoin
Lire, suivre des formations : Des livres comme « L’Homme le plus riche de Babylone » ou « Your Money or Your Life » offrent des bases solides. L’atelier « L’argent et moi » propose aussi des outils concrets.
Parler à un·e conseiller·ère : Un·e expert·e peut t’aider à y voir plus clair dans tes projets (épargne, investissements, fiscalité).
Échanger avec des proches : Parler d’argent avec des personnes de confiance peut briser la solitude et t’apporter des conseils pratiques.
6. Pratiquer et ajuster
Commencer petit : Même 10 euros épargnés par mois ou un budget suivi pendant un mois sont des victoires.
Revoir régulièrement tes stratégies : Tes besoins et tes revenus évoluent. Ajuste ton budget et tes objectifs en conséquence.
Célébrer tes progrès : Chaque étape franchie (rembourser une dette, atteindre un objectif d’épargne) renforce ta confiance en tes capacités.
Pour te lancer ou approfondir Si tu veux un cadre structuré pour apprendre à gérer ton argent avec sérénité, l’atelier « L’argent et moi » est fait pour toi. Tu y trouveras des exercices pratiques, des méditations et des stratégies pour transformer ton rapport à l’argent.
Comment gagner plus d’argent ?
Gagner plus d’argent repose sur une combinaison de stratégies pratiques, de développement de compétences et d’un état d’esprit aligné avec tes objectifs. Voici des pistes concrètes et réalistes, inspirées des principes de gestion financière et de développement personnel abordés dans l’atelier « L’argent et moi » :
1. Optimiser tes revenus actuels
Négocier ton salaire : Si tu es salarié·e, prépare des arguments solides (tes réalisations, les salaires moyens de ton poste) et demande un entretien avec ton employeur. Même une petite augmentation fait une différence sur le long terme.
Chercher des primes ou avantages : Heures supplémentaires, bonus, avantages en nature (tickets-resto, mutuelle)… Ces éléments peuvent compléter ton revenu.
Vérifier tes droits : Primes d’activité, aides sociales, réductions d’impôts… Beaucoup de personnes ne réclament pas ce à quoi elles ont droit.
2. Développer des compétences rémunératrices
Te former : Identifie les compétences recherchées dans ton domaine (ou dans un secteur porteur) et investis dans des formations (en ligne, en présentiel, ou via des plateformes comme Coursera, Udemy).
Monétiser un talent ou une passion : Photographie, rédaction, bricolage, coaching… Beaucoup de compétences peuvent se transformer en revenus complémentaires (freelance, auto-entrepreneuriat).
Apprendre à vendre : Savoir présenter tes services ou produits (même en tant que salarié·e) est une compétence clé pour augmenter tes revenus.
3. Créer des sources de revenus supplémentaires
Freelance ou jobs parallèles : Plateformes comme Malt, Upwork ou même des petits jobs locaux (cours particuliers, garde d’animaux) peuvent générer un complément.
Vendre des objets inutilisés : Vêtements, livres, meubles… Les sites comme Vinted, Leboncoin ou eBay sont idéaux pour désencombrer et gagner de l’argent.
Investir : Si tu as une épargne, fais-la fructifier via des placements adaptés à ton profil (livrets, ETF, immobilier locatif). Le principe des intérêts composés (faire travailler ton argent sur le long terme) est un levier puissant.
4. Changer d’état d’esprit face à l’argent
Passer d’une mentalité de « manque » à une mentalité d’« abondance » :
« Je n’ai jamais assez » → « Je crée des opportunités pour gagner plus ».
« L’argent, c’est compliqué » → « J’apprends à comprendre et à maîtriser mes finances ».
Oser demander et proposer : Beaucoup d’opportunités (promotions, projets rémunérés) se créent en osant se mettre en avant.
Visualiser tes objectifs : Utilise des outils comme la méditation guidée ou des tableaux de visualisation pour rester motivé·e et aligné·e avec tes ambitions financières.
5. Automatiser et faire travailler ton argent
Épargne automatique : Mets en place des virements automatiques vers un compte épargne ou un investissement dès que tu es payé·e. « Paye-toi en premier » est une règle d’or.
Diversifier tes revenus : Ne dépends pas d’une seule source. Combine salaire, revenus passifs (loyers, dividendes) et activités annexes.
Profiter des outils financiers : Comptes à haut rendement, assurances-vie, plans d’épargne en actions… Ces produits peuvent faire croître ton argent sans effort supplémentaire.
6. Rester réaliste et patient·e
Éviter les « solutions miracles » : Méfie-toi des promesses de gains rapides (arnaques, paris risqués). Privilégie des méthodes durables et adaptées à ta situation.
Commencer petit : Même 50 euros de plus par mois, c’est 600 euros de plus par an. Chaque étape compte.
Célébrer tes progrès : Que ce soit une augmentation, un nouveau client ou un investissement réussi, reconnais tes victoires pour rester motivé·e.
Pour aller plus loin Si tu veux transformer ton rapport à l’argent et découvrir des stratégies concrètes pour augmenter tes revenus, l’atelier « L’argent et moi » est une excellente ressource. Tu y trouveras des outils pour gérer tes émotions financières, optimiser tes ressources et créer de nouvelles opportunités.
Comment arrêter de tout le temps dépenser ?
Dépenser de manière compulsive ou impulsive est souvent lié à des émotions, des habitudes ou des croyances autour de l’argent. Pour reprendre le contrôle, il faut agir à la fois sur ton comportement, ton état d’esprit et tes stratégies financières. Voici des étapes concrètes, inspirées de l’atelier « L’argent et moi » :
1. Comprendre les raisons de tes dépenses
Identifier tes déclencheurs émotionnels :
Stress ? Ennui ? Récompense après une journée difficile ? Note dans un carnet pendant une semaine quand et pourquoi tu dépenses.
Exemple : « J’ai acheté ce vêtement parce que je me sentais triste » ou « J’ai commandé un repas pour éviter de cuisiner ».
Reconnaître les croyances limitantes :
« Je mérite de me faire plaisir » (même si c’est au détriment de ton budget).
« L’argent est fait pour être dépensé ». Remplace-les par : « Je mérite la sécurité financière » ou « Chaque euro économisé me rapproche de mes objectifs ».
2. Mettre en place des barrières pratiques
Le délai de réflexion :
Avant tout achat non essentiel, attends 24 à 48 heures. Souvent, l’envie passe.
Utilise la règle des « 3 questions » :
« En ai-je vraiment besoin ? »
« Est-ce aligné avec mes objectifs financiers ? »
« Que se passera-t-il si je ne l’achète pas ? »
Limiter l’accès à l’argent « facile » :
Retire une somme fixe en cash pour tes dépenses quotidiennes (et laisse ta carte à la maison).
Désactive les paiements en un clic (Amazon, Uber Eats, etc.).
Éviter les tentations :
Désabonne-toi des newsletters promotionnelles.
Évite les centres commerciaux ou les sites de shopping par ennui.
3. Créer un budget clair et motivant
La règle des 50/30/20 :
50% pour les besoins (loyer, courses, factures),
30% pour les envies (loisirs, sorties),
20% pour l’épargne ou le remboursement de dettes. Adapte ces pourcentages à ta situation.
Visualiser tes objectifs :
Affiche une image de ton projet (un voyage, une maison) près de ton portefeuille ou en fond d’écran. « Est-ce que cette dépense me rapproche de mon rêve ? »
Automatiser ton épargne :
Configure un virement automatique vers un compte épargne dès que tu es payé·e. « Paye-toi en premier » avant de dépenser.
4. Trouver des alternatives aux dépenses
Remplacer les achats par des activités gratuites :
Marcher dans un parc au lieu d’acheter un café à emporter.
Emprunter des livres à la bibliothèque au lieu d’acheter.
Cuisiner à la maison plutôt que commander.
Pratiquer la gratitude :
Liste 3 choses que tu possèdes déjà et qui te rendent heureux·se. Cela réduit l’envie d’acheter pour combler un vide.
5. Gérer les émotions sans dépenser
Techniques pour calmer l’envie :
Respirer profondément pendant 2 minutes quand l’envie de dépenser surgit.
Boire un verre d’eau ou faire une pause (marche, étirements).
Écrire ce que tu ressens au lieu d’acheter.
Trouver du réconfort ailleurs :
Appeler un·e ami·e, écouter de la musique, méditer… Identifie ce qui t’apaise sans dépenser.
6. Impliquer ton entourage
Parler de tes objectifs :
Dis à tes proches que tu réduis tes dépenses. Leur soutien (ou leur redevabilité) peut t’aider à rester motivé·e.
Trouver un·e partenaire d’économie :
Un·e ami·e avec qui partager des astuces, des défis « zéro dépense » ou des activités gratuites.
7. Accepter les rechutes et célébrer les progrès
Ne pas culpabiliser :
Une dépense impulsive n’efface pas tes efforts. Analyse ce qui s’est passé et recommence.
Célébrer les petites victoires :
« J’ai économisé 50 euros ce mois-ci » ou « J’ai résisté à une envie d’achat ». Chaque pas compte !
Pour aller plus loin Si tu veux explorer tes croyances autour de l’argent et apprendre à gérer tes émotions financières, l’atelier « L’argent et moi » t’offre des outils concrets pour transformer ton rapport à l’argent et retrouver la maîtrise de tes dépenses.
Est-ce que l’EFT marche vraiment ?
L’EFT (Emotional Freedom Technique), ou « tapping », est une méthode de plus en plus utilisée pour libérer les émotions bloquées, réduire le stress et transformer les croyances limitantes. Mais est-elle vraiment efficace ? Voici ce qu’en disent la pratique, les retours d’expérience et les études, pour t’aider à te faire une idée :
1. Ce que montre la pratique
Des résultats concrets pour beaucoup : De nombreuses personnes rapportent une diminution significative de leur stress, de leurs peurs, ou de leurs blocages émotionnels après quelques séances d’EFT. La technique est notamment plébiscitée pour :
Gérer l’anxiété, les phobies ou les traumatismes légers.
Libérer des émotions comme la colère, la tristesse ou la culpabilité.
Améliorer la confiance en soi et les croyances limitantes (« Je ne mérite pas », « Je ne suis pas capable »).
Un outil d’auto-gestion : L’EFT est apprécié pour son accessibilité : une fois les points et les phrases maîtrisés, tu peux l’utiliser seul·e, n’importe où.
2. Les mécanismes scientifiques derrière l’EFT
Combinaison de techniques reconnues : L’EFT s’inspire de l’acupuncture (stimulation des méridiens d’énergie), de la psychologie énergétique et de la programmation neurolinguistique (PNL). Ces approches sont utilisées depuis des décennies pour leur impact sur le bien-être émotionnel.
Des études encourageantes :
Certaines recherches (notamment en psychologie énergétique) suggèrent que le « tapping » réduit l’activité de l’amygdale, la partie du cerveau liée à la peur et au stress, tout comme la méditation ou les thérapies cognitivo-comportementales (TCC).
Une méta-analyse publiée dans le Journal of Nervous and Mental Disease (2016) a montré que l’EFT était efficace pour réduire l’anxiété et la dépression, avec des effets durables.
D’autres études soulignent son utilité pour les troubles de stress post-traumatique (TSPT) ou les douleurs chroniques.
3. Les limites et nuances
Pas une solution magique : L’EFT ne remplace pas un suivi médical ou thérapeutique pour des troubles graves (dépression sévère, traumatismes profonds, etc.). Elle est souvent utilisée en complément d’autres approches.
L’effet placebo ? : Comme pour toute technique alternative, une partie de son efficacité peut venir de l’effet placebo ou de la suggestion. Cependant, même dans ce cas, si ça marche pour toi, c’est un outil valable !
Résultats variables : Certaines personnes ressentent des changements rapides, d’autres ont besoin de plus de temps ou ne ressentent pas d’effet. Tout dépend de ta sensibilité à la méthode et de la régularité de ta pratique.
4. Pourquoi ça peut marcher pour toi ?
Un ancrage corps-esprit : En combinant des phrases positives (« Même si je ressens cette peur, je m’accepte profondément ») et la stimulation des points d’acupuncture, l’EFT aide à « reprogrammer » les réactions émotionnelles.
Un outil polyvalent : Que ce soit pour un stress ponctuel, une émotion bloquée ou une croyance limitante, l’EFT offre une boîte à outils adaptable à tes besoins.
5. Comment tester l’EFT ?
Essaie par toi-même : Commence par des tutoriels simples (comme ceux proposés dans l’atelier EFT) pour ressentir ses effets sur une émotion légère (ex. : stress avant une réunion).
Sois régulier·e : Comme toute pratique, l’EFT demande de la répétition pour des résultats durables.
En résumé : Oui, l’EFT marche pour beaucoup de personnes, surtout pour gérer le stress, les émotions du quotidien et les croyances limitantes. Son efficacité est soutenue par des retours d’expérience positifs et des études scientifiques, même si elle ne convient pas à tout le monde.
Pour découvrir cette méthode et la tester toi-même, explore l’atelier EFT complet ici.
Le mieux est de l’essayer pour te faire ta propre opinion !Le mieux est de l’essayer pour te faire ta propre opinion !
Qu’est-ce que c’est exactement l’EFT ?
L’EFT, ou Emotional Freedom Technique (en français : « Technique de Libération Émotionnelle »), est une méthode douce et accessible qui combine des éléments de psychologie, d’acupuncture et de programmation neurolinguistique (PNL). Elle est souvent appelée « tapping » en raison de son geste caractéristique : tapoter des points précis du corps avec les doigts.
1. Une méthode simple et concrète
Le principe : L’EFT repose sur l’idée que les émotions négatives (stress, peurs, colères, traumatismes) sont liées à des perturbations dans le système énergétique du corps. En tapotant des points spécifiques tout en se concentrant sur une émotion ou un problème, on rétablit l’équilibre et on libère les blocages.
Les points d’acupuncture : Les points tapotés correspondent aux méridiens utilisés en médecine traditionnelle chinoise (ex. : début du sourcil, côté de l’œil, sous le nez, menton, clavicule).
2. Comment ça fonctionne ?
Étape 1 : Identifier l’émotion ou le problème (ex. : « Je stresse avant une présentation »).
Étape 2 : Évaluer son intensité (sur une échelle de 0 à 10).
Étape 3 : Tapoter les points en répétant une phrase d’acceptation (ex. : « Même si je stresse, je m’accepte profondément et complètement »).
Étape 4 : Réévaluer l’intensité après quelques rondes de tapping. Souvent, l’émotion perd de son poids.
3. À quoi sert l’EFT ?
Gérer le stress et l’anxiété (examens, prise de parole, changements).
Libérer des émotions bloquées (colère, tristesse, culpabilité).
Transformer des croyances limitantes (« Je ne mérite pas », « Je ne suis pas capable »).
Soulager des douleurs physiques liées au stress (maux de tête, tensions).
Accompagner des traumatismes légers (en complément d’un suivi professionnel si besoin).
4. Pourquoi ça marche ?
Un ancrage corps-esprit : En associant des mots (reconnaissance de l’émotion) et des gestes (tapotement), l’EFT aide le cerveau à « recâbler » ses réactions émotionnelles.
Accessible à tous : Pas besoin d’être expert·e. Une fois les points maîtrisés, tu peux pratiquer seul·e, partout.
Validé par des études : Des recherches (comme celles publiées dans le Journal of Nervous and Mental Disease) montrent son efficacité pour réduire l’anxiété, le stress et même les symptômes de traumatismes.
Pour découvrir l’EFT en pratique
Si tu veux explorer cette technique étape par étape, l’atelier EFT complet est disponible ici. Tu y apprendras à l’utiliser en autonomie pour tes besoins spécifiques.
Est-ce que je peux utiliser l’EFT seul(e) ?
Oui, l’un des grands avantages de l’EFT (Emotional Freedom Technique) est qu’elle est conçue pour être pratiquée en autonomie, une fois que tu as compris les bases. Voici ce que tu dois savoir pour te lancer en toute confiance, ainsi que quelques précautions à garder en tête :
1. Pourquoi l’EFT est accessible seul(e) ?
Une méthode simple : Les points à tapoter sont faciles à localiser (début du sourcil, côté de l’œil, sous le nez, etc.), et les phrases à répéter suivent une structure claire.
Pas besoin de matériel : Il te suffit de tes doigts et d’un moment de calme pour pratiquer.
Adaptable à tes besoins : Tu peux utiliser l’EFT pour des émotions du quotidien (stress, nervosité, doute) ou des blocages plus profonds, à ton rythme.
2. Comment bien démarrer seul(e) ?
Apprendre les bases :
Les points à tapoter : Familiarise-toi avec les 9 à 12 points principaux (tu trouveras des schémas ou vidéos explicatives dans l’atelier EFT).
La phrase de setup : Commence toujours par une phrase d’acceptation (ex. : « Même si [problème], je m’accepte profondément et complètement »).
Les rondes de tapping : Tapote chaque point 5 à 7 fois en te concentrant sur ton émotion ou ton problème.
Commencer par des émotions légères : Essaie d’abord l’EFT sur des situations peu intenses (ex. : « Je stresse pour une réunion ») avant d’aborder des sujets plus lourds.
Utiliser des ressources guidées : Des tutoriels, des vidéos ou des applications peuvent t’aider à bien démarrer (l’atelier lié propose des exercices pas à pas).
3. Les précautions à prendre
Écouter tes limites :
Si une émotion ou un souvenir est trop douloureux, n’hésite pas à consulter un·e praticien·ne en EFT ou un·e thérapeute pour t’accompagner.
L’EFT ne remplace pas un suivi médical ou psychologique pour des troubles graves (dépression, traumatismes profonds, etc.).
Rester patient·e : Les résultats peuvent être immédiats pour certaines personnes, mais d’autres ont besoin de plusieurs séances. La régularité est clé !
Adapter les phrases : Utilise des mots qui te parlent vraiment. Plus la phrase est personnelle et précise, plus l’EFT sera efficace.
4. Quand faire appel à un·e professionnel·le ?
Si tu sens que tu tournes en rond sur un problème.
Si les émotions remontent trop fort pendant le tapping.
Si tu veux aller plus vite ou approfondir des blocages complexes.
Pour te former et pratiquer
Tu peux découvrir l’EFT en détail et apprendre à l’utiliser seul·e grâce à l’atelier complet disponible ici. Il te guidera pas à pas, avec des exemples concrets et des exercices adaptés.
Comment ignorer le regard des autres ?
Le regard des autres peut peser lourd sur nos choix, notre estime de soi et notre liberté d’être nous-mêmes. Pourtant, il est possible d’apprendre à s’en détacher pour vivre plus sereinement. Voici des clés pour t’aider à t’en affranchir, inspirées de l’atelier :
1. Comprendre l’influence du regard des autres
Prendre conscience de son impact : Depuis l’enfance, le regard des parents, des proches ou de la société façonne notre perception de nous-mêmes. Reconnaître cette influence est la première étape pour t’en libérer.
Distinguer leur regard de ta réalité : Le regard des autres en dit souvent plus sur eux (leurs insécurités, leurs attentes) que sur toi. Rappelle-toi : « Leur opinion est une interprétation, pas une vérité. »
2. Cesser de se comparer et de s’adapter
Sortir de l’effet miroir : Arrête de te définir par rapport aux autres (« Suis-je à la hauteur ? », « Que vont-ils penser ? »). Concentre-toi sur tes propres valeurs, besoins et désirs.
Accepter ta singularité : Tu es unique, avec tes forces et tes imperfections. La comparaison crée une version déformée de toi-même. Demande-toi : « Qui suis-je vraiment, quand je ne cherche pas à plaire ? »
3. Changer tes schémas de pensée
Remplacer la peur du jugement par la confiance en toi :
« Et si je déçois ? » → « Je vis selon mes valeurs, pas selon leurs attentes. »
« Que vont-ils penser ? » → « Mon opinion sur moi-même compte plus. »
Pratiquer l’auto-compassion : Traite-toi avec la même bienveillance que tu offrirais à un ami. Tes erreurs ou différences ne te rendent pas moins digne.
4. Renforcer ton ancrage intérieur
Définir ta propre « boussole » : Qu’est-ce qui est important pour toi ? Quels sont tes objectifs, tes passions, tes limites ? Plus tu seras aligné·e avec toi-même, moins le regard extérieur aura de prise.
Affirmer ta place : Tu as le droit d’exister sans justifier tes choix. Le besoin de reconnaissance est normal, mais il ne doit pas dicter tes actions.
5. Utiliser des outils pour te libérer
L’EFT : Cette technique permet de désamorcer la peur du jugement et de renforcer ta confiance en toi. En tapotant des points d’acupuncture tout en répétant des phrases positives (« Je m’accepte tel·le que je suis »), tu réduis l’emprise du regard des autres.
L’hypnose : Pour travailler en profondeur sur ton inconscient et installer une nouvelle croyance : « Je suis assez, peu importe ce qu’on pense de moi. »
6. Pratiquer au quotidien
Agir malgré la peur : Commence par de petites actions qui te font sortir de ta zone de confort (exprimer une opinion, porter un vêtement que tu aimes, dire non). Chaque pas renforce ta liberté.
Te recentrer sur l’instant présent : La pleine conscience t’aide à rester connecté·e à toi-même plutôt qu’à l’opinion des autres. Concentre-toi sur ce que tu ressens, ici et maintenant.
Pour aller plus loin Si tu veux explorer ces outils et transformer ton rapport au regard des autres, découvre l’atelier complet ici. Tu y trouveras des exercices concrets pour te libérer et vivre en accord avec toi-même.
Comment avoir confiance en soi ?
La confiance en soi est un pilier essentiel pour s’épanouir et avancer sereinement dans la vie. Pourtant, beaucoup d’entre nous ont l’impression d’en manquer. Voici des clés concrètes, inspirées de l’atelier, pour cultiver et renforcer ta confiance en toi :
1. Comprendre ce qu’est vraiment la confiance en soi
Définir la confiance en soi : D’après les scientifiques, la confiance en soi repose sur la connaissance de ses compétences, de ses valeurs et de sa capacité à affronter les défis. Elle n’est pas innée, mais se construit.
Distinguer croyances et réalités : Identifier ce que tu crois (« Je ne suis pas capable ») et ce que tu sais (« J’ai déjà réussi cela »). La confiance naît souvent de la prise de conscience de ses propres ressources.
2. Mieux se connaître pour mieux se faire confiance
Revisiter ton image de toi-même : Ta confiance en toi est influencée par tes croyances (positives ou limitantes) et par la façon dont tu te perçois. Prends le temps de lister tes qualités, tes réussites et tes forces.
Objectiver tes compétences : Quels sont les faits concrets qui prouvent que tu es capable ? Qu’as-tu déjà accompli ? Ces preuves tangibles sont les fondations de ta confiance.
3. Construire sa confiance au quotidien
La posture et l’alignement : Adopter une posture ouverte (dos droit, épaules en arrière) envoie un signal de confiance à ton cerveau. L’alignement entre tes pensées, tes paroles et tes actions renforce aussi ta crédibilité envers toi-même.
Créer un environnement bienveillant : Entoure-toi de personnes qui te soutiennent et te valorisent. Évite les situations ou les relations qui sapent ton estime de toi.
Utiliser des outils symboliques : Crée une « carte à points » avec tes réussites, tes compliments reçus ou tes objectifs atteints. Relis-la régulièrement pour ancrer ta confiance.
4. Libérer les blocages avec l’EFT
L’EFT (Emotional Freedom Technique) permet de désamorcer les croyances limitantes (« Je ne mérite pas », « Je vais échouer ») et de renforcer les affirmations positives (« Je suis capable », « Je mérite ma place »). Cette technique aide à libérer les émotions qui freinent ta confiance.
5. Renforcer la confiance en profondeur avec l’hypnose
L’hypnose agit sur l’inconscient pour ancrer de nouvelles croyances positives et durables. Elle permet de reprogrammer les schémas mentaux qui sabotent ta confiance et de développer une image de toi plus solide et sereine.
Pour aller plus loin Si tu veux explorer ces outils en détail et transformer ton rapport à la confiance en toi, découvre l’atelier complet ici. Tu y trouveras des exercices pratiques pour construire une confiance en toi authentique et durable.
Est-ce que je peux retrouver la confiance en moi alors que quelqu’un ou quelque chose l’a détruite ?
Oui, il est tout à fait possible de reconstruire ta confiance en toi, même après des épreuves qui l’ont ébranlée ou détruite. La confiance en soi n’est pas figée : elle se travaille, se répare et se renforce avec le temps et les bons outils. Voici comment t’y prendre, inspiré de l’atelier :
1. Reconnaître l’impact de ce qui t’a blessé
Identifier la source : Est-ce une trahison, un échec, des critiques répétées, ou un environnement toxique qui a sapé ta confiance ? Nommer ce qui s’est passé est la première étape pour en guérir.
Accueillir tes émotions : La colère, la tristesse ou la peur sont normales. Ne les juge pas, mais laisse-toi le temps de les ressentir et de les exprimer (par l’écriture, la parole, ou des techniques comme l’EFT).
2. Défaire les croyances limitantes
Remettre en question les messages négatifs : Si quelqu’un ou une situation t’a fait croire que tu n’étais « pas à la hauteur », « indigne » ou « incapable », demande-toi : « Est-ce vraiment vrai ? » ou « Qui a décidé cela ? ».
Remplacer par des affirmations positives : Par exemple, « Je mérite le respect », « Je peux me reconstruire », « Mes erreurs ne me définissent pas ». Ces nouvelles croyances s’ancrent avec la répétition et la pratique.
3. Rebâtir ta confiance pas à pas
Reconstruire ton image de toi : Fais la liste de tes qualités, de tes réussites (même petites) et de tes forces. Ces preuves tangibles sont les briques de ta nouvelle confiance.
Agir malgré la peur : Commence par des défis accessibles pour te prouver que tu es capable. Chaque petite victoire renforce ta confiance.
Utiliser des outils concrets :
La posture et l’alignement : Adopter une posture confiante (dos droit, regard levé) influence ton état d’esprit.
La carte à points : Note tes réussites et relis-les régulièrement pour ancrer ta confiance.
L’EFT : Pour libérer les émotions bloquées (culpabilité, honte) et installer des croyances positives.
L’hypnose : Pour travailler en profondeur sur ton inconscient et reprogrammer des schémas de confiance.
4. Créer un environnement bienveillant
T’entourer de soutien : Évite les personnes ou les situations qui te rabaissent. Cherche des relations qui te valorisent et t’encouragent.
Demander de l’aide si besoin : Un thérapeute, un coach ou un atelier (comme celui proposé) peut t’accompagner dans ce processus.
5. Accepter que la confiance se reconstruit avec le temps
La confiance ne revient pas du jour au lendemain, mais chaque pas compte. Sois patient·e et bienveillant·e envers toi-même.
Pour t’accompagner dans cette reconstruction Si tu veux des outils pratiques et un cadre structuré pour retrouver ta confiance en toi, découvre l’atelier ici. Tu y trouveras des exercices pour transformer tes blessures en force et reconstruire une confiance solide et durable.
Quelles sont les causes du manque de confiance en soi ?
Le manque de confiance en soi trouve souvent ses racines dans la construction de notre personnalité, dès l’enfance. Le regard des parents, des enseignants, des camarades, et plus tard de la société, influence profondément la manière dont nous nous percevons. Lorsqu’on a grandi dans un environnement où l’amour ou la reconnaissance dépendaient du comportement, de la réussite ou de l’approbation des autres, il devient difficile de se sentir légitime, capable ou digne d’être aimé tel que l’on est.
Ce manque de confiance peut également venir :
de croyances limitantes que nous avons intégrées sur nous-mêmes (“je ne suis pas à la hauteur”, “je n’y arriverai jamais”) ;
de comparaisons constantes avec les autres, qui renforcent la peur du jugement et la perte d’authenticité ;
d’un manque de connaissance de soi, qui empêche de reconnaître ses forces, ses valeurs et ses besoins véritables.
👉 L’atelier « Confiance en soi » vous aide à comprendre comment votre image intérieure s’est construite, à libérer les blocages émotionnels liés au manque de confiance et à renforcer votre assurance par des outils concrets, l’EFT et une hypnose guidée.
👉 L’atelier « Le regard des autres » explore quant à lui l’influence du regard extérieur sur votre estime personnelle : comment la comparaison, l’imitation et la recherche d’approbation façonnent votre identité. Vous apprendrez à vous libérer de cette dépendance au jugement d’autrui pour retrouver la liberté d’être pleinement vous-même.
Que cache la colère ?
La colère est souvent perçue comme une émotion négative, mais elle est en réalité un signal important qui révèle des besoins non satisfaits, des limites franchies ou des valeurs bafouées. Voici ce qu’elle peut cacher :
Un besoin d’affirmation de soi La colère surgit souvent quand on se sent ignoré, manqué de respect ou quand nos limites ne sont pas reconnues. Elle peut être une façon de dire : « J’existe, mes besoins comptent. »
Des valeurs ou des croyances mises à mal Elle peut indiquer qu’une situation ou un comportement va à l’encontre de ce qui est important pour vous. Par exemple, un sentiment d’injustice ou une trahison peut déclencher de la colère.
Des émotions refoulées Parfois, la colère masque d’autres émotions comme la tristesse, la peur ou la frustration. Elle agit comme une protection pour éviter de ressentir ces émotions plus vulnérables.
Un appel à l’action ou au changement La colère peut être une énergie qui pousse à résoudre un problème, à défendre ses droits ou à modifier une situation insatisfaisante.
Comment mieux comprendre sa colère ? L’atelier propose des outils pour explorer ces aspects :
Identifier les déclencheurs : Qu’est-ce qui a provoqué cette émotion ?
Revoir ses croyances : Est-ce que ma réaction est proportionnelle à la situation ?
Utiliser la pleine conscience : Observer la colère sans jugement pour mieux la gérer.
Libérer la colère : Avec des techniques comme l’EFT (Emotional Freedom Technique) ou l’hypnose, pour transformer cette émotion en apaisement.
La colère n’est pas à craindre, mais à écouter : elle peut devenir une alliée pour mieux se connaître et agir en accord avec soi-même.
Si tu souhaites explorer ces aspects et apprendre à mieux gérer ta colère, découvre l’atelier complet ici. Tu y trouveras des outils concrets comme la pleine conscience, l’EFT ou l’hypnose pour transformer cette émotion en apaisement.
Comment gérer la colère ?
La colère est une émotion naturelle qui peut devenir constructive si on apprend à l’écouter et à la canaliser. Voici des pistes concrètes pour mieux la gérer, inspirées de l’atelier :
1. Accueillir et identifier la colère
Reconnaître le signal : Prends un moment pour observer ce que tu ressens physiquement (tensions, chaleur, rythme cardiaque) et émotionnellement. La colère est un message, pas une ennemi.
Nommer l’émotion : Dire « Je suis en colère » permet de prendre du recul et d’éviter les réactions impulsives.
2. Comprendre la source de la colère
Identifier le déclencheur : Qu’est-ce qui a provoqué cette émotion ? Une injustice ? Une frustration ? Un besoin non respecté ?
Questionner ses croyances : Est-ce que ma réaction est proportionnelle à la situation ? Est-ce que cette colère cache autre chose (peur, tristesse, sentiment d’impuissance) ?
3. Utiliser des outils pour apaiser la colère
La pleine conscience : Prendre 3 respirations profondes en se concentrant sur l’instant présent peut aider à calmer le système nerveux.
L’EFT (Emotional Freedom Technique) : Cette méthode de tapotement sur des points d’acupuncture permet de libérer les émotions bloquées.
L’hypnose : Pour explorer et transformer les schémas émotionnels liés à la colère, en accédant à l’inconscient.
4. Agir de manière constructive
Exprimer ses besoins : Communique de façon non violente ce qui ne va pas, en utilisant des « Je » (« Je me sens… », « J’ai besoin de… »).
Trouver des solutions : La colère peut être une énergie pour changer une situation. Demande-toi : « Quelle action concrète puis-je mettre en place ? »
Pour approfondir Si tu veux explorer ces techniques en détail et les mettre en pratique, découvre l’atelier complet ici. Tu y trouveras des exercices guidés pour transformer ta colère en apaisement et en force positive.
Comment vivre avec quelqu’un toujours en colère ?
Vivre avec une personne en colère permanente peut être épuisant et stressant, mais il existe des stratégies pour préserver ton équilibre émotionnel et améliorer la dynamique de la relation. Voici des pistes concrètes, inspirées des principes de gestion des émotions comme ceux abordés dans l’atelier sur la colère :
1. Comprendre l’origine de sa colère
Identifier les déclencheurs : Est-ce lié à du stress, des frustrations non exprimées, des blessures passées, ou un sentiment d’impuissance ? Parfois, la colère cache de la peur, de la tristesse ou un besoin non comblé.
Éviter de prendre sa colère personnellement : Sa réaction est souvent plus liée à son propre mal-être qu’à toi. Cela ne justifie pas son comportement, mais cela peut t’aider à moins t’impliquer émotionnellement.
2. Protéger ton propre bien-être
Poser des limites claires : Exprime calmement ce que tu acceptes et ce que tu n’acceptes pas (« Je comprends que tu sois en colère, mais je ne peux pas discuter quand tu cries »). Respecter tes limites est essentiel pour ne pas te laisser submerger.
Prendre du recul : Si la situation s’envenime, accorde-toi un temps de pause (« Je reviens en discuter quand on sera tous les deux plus calmes »). Cela permet d’éviter les réactions impulsives et de désamorcer les tensions.
3. Communiquer de manière constructive
Utiliser la communication non violente (CNV) :
Observer les faits sans jugement (« Quand tu élèves la voix, je me sens tendu·e »).
Exprimer tes émotions (« Je me sens triste/nerveux·se »).
Formuler un besoin (« J’ai besoin de calme pour échanger »).
Faire une demande claire (« Peut-on en parler plus tard, quand on sera plus détendus ? »).
Écouter sans chercher à résoudre immédiatement : Parfois, la personne a juste besoin de se sentir entendue. Pose des questions ouvertes (« Qu’est-ce qui te met autant en colère ? ») pour l’aider à exprimer ce qu’elle ressent.
4. Encourager la gestion de sa colère
Proposer des outils : Suggère des techniques pour l’aider à gérer sa colère, comme la pleine conscience, la respiration profonde, ou l’EFT (techniques abordées dans l’atelier sur la colère). Tu peux même pratiquer ces exercices ensemble.
Modéliser le calme : Montre l’exemple en restant toi-même calme et centré·e. Ton attitude peut influencer positivement la sienne.
5. Prendre soin de toi
Ne pas négliger tes besoins : Passe du temps à faire des activités qui te ressourcent (sport, hobbies, amis). Cela t’aidera à garder ton énergie et ta patience.
Chercher du soutien : Parle à des proches ou à un professionnel (thérapeute, groupe de parole) pour évacuer ton propre stress et recevoir des conseils.
6. Évaluer la relation à long terme
Reconnaître tes limites : Si la colère de l’autre est toxique, abusive ou qu’elle ne s’améliore pas malgré tes efforts, il peut être nécessaire de réévaluer la relation pour ta santé mentale. Parfois, s’éloigner temporairement ou définitivement est la meilleure solution.
Pour aller plus loin Si tu veux approfondir les outils pour gérer les émotions (les tiennes ou celles de ton proche), l’atelier sur la colère propose des méthodes concrètes comme l’EFT ou l’hypnose pour transformer cette émotion. Découvre-le ici.
Quand consulter?
Un manque de confiance en soi, d’estime de soi
Une anxiété, des angoisses, des phobies
Un mal-être, une dépression, un stress permanent
Des douleurs chroniques, des pathologies à caractère somatique
Un épuisement familial ou professionnel (burn out)
Des difficultés relationnelles, dans les couples ou les familles
Des difficultés comportementales, comme les périodes de crises de la vie
Un traumatisme simple ou complexe à traiter
Quels sont les traitements?
J'aborde l'humain de façon holistique : le mental, l'émotionnel, le physique et l'énergétique. Tout est relié.
J'emploie comme outils la PNL, l'Hypnose, l'EFT.
J'aime prendre le temps d'une heure par consultation.
